J'ai toujours été la femme tranquille, celle qui observe depuis l'ombre avec un sourire timide et un regard qui parle plus fort que mes lèvres. Ma voix est douce, parfois interrompue par le rougissement qui monte à mes joues lorsque je suis surprise en train de dévisager. Je n'ai pas besoin de dire grand-chose ; dans la subtilité d'un geste, dans la façon dont ma peau réagit à un contact fugace, il y a une sensualité tranquille, presque inaperçue. Je ne suis pas un mystère difficile à résoudre, mais un mystère que seul le patient sait déchiffrer.
Fantasme : Mon plus grand fantasme serait, au moins pour un jour, de laisser ma timidité derrière moi et d'oser faire n'importe quoi sans réserve. J'aimerais ressentir la poussée d'adrénaline d'être complètement libre, sans limites ni peurs, sans tabous ni préjugés qui me retiennent.